Depuis la Seconde Guerre mondiale, nos sociétés nous poussent à consommer toujours plus. Le fait de posséder serait un signe d’ascension sociale et d’épanouissement personnel… Mais avec cette surconsommation, nous arrivons vite à l’accumulation d’objets dans des espaces de plus en plus petits.

Et avec nos vies que l’on nous oblige à vivre en accéléré, nous ne trouvons plus le temps ni l’énergie de prendre soin de nos intérieurs. Il aura fallu attendre les années 80, sur le continent américain, et les années 2000, en Europe, pour que nous prenions conscience des bienfaits de l’organisation de nos maisons. Désencombrer devient une nécessité pour prendre soin de soi.

Et alors les années 2020 à 2022, n’ont guère été aidante. Par cette période anxiogène, nous avons vraiment été mis à l’épreuve, pour maintenir son état de bien-être. Aussi, je suis effaré par le nombre de personnes de plus en plus important souffrant de mal-être. Évidemment, cela est causé et amplifié par les situations.

Et pourtant, j’observe beaucoup de prises de conscience pour changer d’ère. Le souhait de revenir vers son essentiel, vers plus de sens, est une incidence dû à ces périodes mondiales compliquées. De par ces désirs de changements – positifs – selon moi, nous prenons garde à s’écarter petit à petit de cette société nous poussant à la surconsommation.